Dès l'enfance, le basket n'était pas qu'un jeu. C'était ma
vie !
Comment cela se traduisait ?
•• C’est simple, je n’avais que ça en tête. Un tsunami d’excitation me gagnait lorsque j’approchais la salle de basket. Plus j’approchais, plus l’émotion de savoir que j’allais jouer augmentée.
A peine les roues de la voiture arrêtées, je courais pour rentrer dans la salle pour gagner… 10 secondes supplémentaires à l'intérieur. Mon rêve était d’ailleurs d’habiter juste en face car les 7 min de voiture me semblaient toujours interminables.
•• J’étais aussi gagné par un phénomène étrange. Il m’arrivait parfois, enfin régulièrement ; soyons honnête ... quotidiennement, de marcher en faisant semblant de dribbler ou semblant de crosser, de sauter pour toucher le haut de la porte, de shooter dans le vide et de m’imaginer marquer des buzzers beaters.
Le « problème » est que cela n’a pas changé aujourd’hui. Ce phénomène est toujours ancré en moi. La différence est que je fais désormais un moulin à vent devant les portes car je n’ai plus besoin de sauter pour toucher le cadrant.
Si le même phénomène vous frappe, merci de m’envoyer un mail pour en discuter.
Vous l’avez compris, je suis depuis toujours habité par le basket. Si bien que j’avais le rêve de devenir un joueur professionnel.
J’admirais, voir idolâtrais les joueurs pros. C’était mon « life goal ». J’ai rapidement compris que même si j’étais bon pour jouer à un niveau correct, cela ne suffirait pas. Mais j'avais la conviction d'avoir ma place dans le basket et quelque chose à apporter.
Ma passion toujours à son comble, le désir de devenir pro a donc glissé vers la conviction de pouvoir jouer un rôle et d’avoir un impact dans le basket, autrement.
Le tout était de savoir… comment ?
Dans la même période, puisque je mangeais et pensais basket, il fallait forcément que je trouve un moyen de traduire ma passion au niveau vestimentaire.
Je voulais que l’on voit partout où j’allais que j’étais un basketteur, que je connaissais le basket que ce soit son actualité comme son Histoire. Les vêtements étaient un moyen de montrer qui j’étais, de montrer une facette de ma personnalité.
Moi qui aimais tant les joueurs pros, je voulais aussi représenter mes joueurs préférés. J’ai rapidement trouvé mon bonheur pour aller à l’entrainement en achetant mes premiers maillots.
En les portant, j’étais comme habité. Si je portais un maillot d’Iverson, j’avais l’intime conviction que je pouvais mieux crosser et donc, je crossais beaucoup plus à l’entrainement. Si je portais un maillot de Michael Jordan, j’avais l’impression que je pouvais sauter plus haut et que personne ne pouvait me contrer. Les maillots me donnaient une confiance supplémentaire. J’avais l’impression d’incarner ces joueurs, d’incarner leurs valeurs et de leur rendre hommage en faisant « comme eux ».
Malheureusement, je n’ai pas trouvé un moyen similaire de représenter ma passion et mes joueurs préférés en-dehors du terrain, dans la vie de tous les jours.
C’était ce qui me manquait le plus. Je ne pouvais pas montrer au quotidien que j’étais un basketteur sauf en étant habillé en vêtement de sport tous les jours...
En m’habillant normalement, sans référence même discrète au basket, j’avais l’impression de ne pas pouvoir m’exprimer, de ne pas pouvoir montrer aux autres qui j’étais.
C'était l'émergence de DearBBall !
DearBBall est donc né de la convergence d’une conviction et d’un besoin.
•• La conviction de Florent d’avoir son rôle à jouer au sein du monde du basketball qu’il aime tant.
Comment ? C'est là qu'arrive son besoin de plus en plus prégnant.
•• Le besoin de trouver des vêtements qui lui permettent de pouvoir partager sa personnalité, sa passion et de représenter ses joueurs préférés au quotidien, pas seulement à l’entrainement.
La création de DearBBall devenait donc logique. Pourquoi ne pas créer les premiers vêtements permettant d’exprimer sa passion dans toutes les situations ?!
« Aujourd’hui, je suis heureux que DearBBall permet aux fans et aux plus grands joueurs de basketball de s’exprimer au quotidien. Porter du DearBBall n’est pas anodin. C’est être porteur de la culture basket. C'est unmoyen d’expression pour montrer sa passion, sa personnalité et les valeurs qui nous sont chères. »